Présentation du projet :
À la suite du premier confinement, les coordonnateurs/trices des actions culturelles en milieu pénitentiaire de Normandie et les chargés de projets Culture et Lecture – Justice ont développé un nouveau média intitulé Gamelle de culture. L’objectif de celui-ci était de garder le lien avec les personnes détenues dans un contexte de suspension des activités culturelles en détention.
Présentation du projet :
Encadré par l’association La cuisine de curiosité de Julie, l’atelier cuisine au Centre de détention d’Argentan existe depuis 2011. Le projet Rendez-vous de saison consiste en la réalisation d’un buffet de dégustation pour 30 à 40 personnes lors d’un moment de restitutions d’activités culturelles réalisées au sein de l’établissement.
Présentation du projet :
Depuis 2015, l’Institut international des droits de l’Homme et de la paix mène un programme d’Education à la Liberté d’Expression et aux Médias (ELEM) auprès des professionnels de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ) de Normandie.
Présentation du projet :
Le projet Passerelle(s) jeunes est un projet pluriannuel de développement de l’accès à la lecture destiné aux mineurs sous protection judiciaire suivis et hébergé en région Normandie. Il a pour objectif de permettre à ces jeunes d’exercer leur droit à la connaissance, à la culture et à la lecture.
Présentation du projet :
Le prix Hors les murs est un trophée remis par les personnes détenues à un ou des auteurs de bande dessinée. Chaque année, ce sont cent lecteurs qui votent, pour départager les bandes dessinées sélectionnées par des libraires spécialisés de Normandie. Le prix Hors les murs est également un moment de rencontres entre les lecteurs et les auteurs au travers de nombreux temps d’échanges et de découvertes dans les établissements.
Le prix est remis lors du festival Normandiebulle.
Présentation du projet :
Comment inviter les jeunes à être plus critiques et vigilants vis-à-vis des informations circulant sur internet (fake news, désinformation…) ? Après une phase d’analyse de vidéos défendant des thèses conspirationnistes, les jeunes se sont appropriés ces codes narratifs pour écrire et réaliser leur propre théorie du complot : Alençon serait une base extraterrestre depuis plusieurs siècles. L’idée étant alors de chercher dans le patrimoine local des éléments pouvant accréditer cette thèse : la forme des bâtiments et des sculptures, les noms des lieux ou encore les personnalités historiques. Ce court métrage a fait l’objet d’un travail d’écriture, puis de la captation de séquences tournées en studio ou en ville dans des bâtiments patrimoniaux.