En mai et juin 2024, le service pénitentiaire d’insertion et de probation du Calvados a organisé une action collective autour du 80ème anniversaire du Débarquement de Normandie.
A la découverte du Musée d’histoire de la vie quotidienne
Musée d’histoire de la vie quotidienne : un partenaire de la Maison d’arrêt d’Evreux
À la découverte du patrimoine Gallo-romain avec Gisacum
Présentation du projet :
Le programme Culture – Justice a pour objectif de faire le lien entre l’intérieur et l’extérieur des établissements pénitentiaires, en les liant à leur territoire. Les projets développés par la Mission archéologique du Département de l’Eure – Gisacum remplit à merveille cette mission en invitant les personnes détenues à découvrir l’histoire de la ville antique de Gisacum fondée il y a 2000 ans. Des Gallo-romains qui vivaient ici aux archéologues qui ont redécouvert le site il y a 200 ans, les interventions des médiateurs et les sorties culturelles permettent de découvrir ce site archéologique, son centre d’interprétation et ses vestiges des bains publics.
Regards sur images, ré-interprétations d’affiches de la guerre 14-18
Présentation du projet :
Le Munaé a mené, en 2019, un projet de (re)lecture et d’interprétation d’images avec des personnes détenues du Centre de détention de Val de Reuil.
Vous avez dit abstrait ?
Entre 2019 et 2020, le musée d’Art, Histoire et Archéologie a proposé aux personnes détenues à la Maison d’Arrêt d’Évreux de participer à la réalisation d’un support de visite autour des collections exceptionnelles d’art abstrait du musée.
On y était !
Présentation du projet :
Cinq jeunes du relais d’insertion de l’Orne se lancent dans une lecture immersive chargée d’émotion.
Les gueules cassées
Présentation du projet :
Entre philosophie et graphisme, l’association une pierre à l’édifice a proposé à la maison d’arrêt de Coutances un travail de réflexion autour de la Première Guerre mondiale.
A3 au musée
Présentation du projet :
Le projet A3 au musée a réuni une quinzaine d’œuvres du Musée d’art moderne André Malraux au Havre qui ont été reproduites et affichées dans la bibliothèque du quartier mineur de la prison. Individuellement, les jeunes ont choisi une œuvre sur laquelle ils ont été invités à s’exprimer. Une seconde œuvre leur a ensuite été imposée. Chaque prise de parole, réalisée sous forme d’entretien, a été l’objet d’un montage audio et d’une transcription pour la création d’une exposition.